Format Kindle 5,42 €

Nach dem Ersten Weltkrieg schrieb Dominique Richert, ein Bauer aus St. Lilrich (geboren 1893), seine Erinnerungen an den Krieg, den er von 1914 bis 1919 in der deutschen Armee führte, in neun einfachen Heften « Le Calligraphe ». Er berichtete von den gewöhnlichen Entbehrungen des Soldaten, den Demütigungen, der Angst, der Beklemmung…. und dem Ekel, den er bei den « Deckkepf » empfand, die diese abscheuliche Schlächterei erfunden hatten. Die Erzählung ist kompromisslos. Dominique Richert, der kein Elend auslässt, ist ein friedliebender Mensch, der vom übersteigerten Nationalismus des « deutschen Heldentums » unberührt bleibt. Die Hefte von Dominique Richert lagen jahrelang anonym und verstaubt auf dem Dachboden in einer Schublade. Dominique Richert hatte nun seinen Seelenfrieden gefunden. Das Schreiben hatte es ihm ermöglicht, die Albträume, die ihn seit seiner Rückkehr in die Heimat verfolgten, auszutreiben. Durch Zufall entdeckte Nickels Sohn Ulrich beim Aufräumen des Dachbodens diesen wertvollen Schatz. Leider war eines der Hefte von Mäusen zerfressen worden. Der alte Dominique vertraute seine Memoiren einem gewissen Claude Faffa an, einem Doktor der Wirtschaftswissenschaften, der ihn immer besuchte, wenn er in St. Ulrich zu Besuch war. Claude Faffa war empfänglich für den Humanismus des Mannes aus der Region. Schon beim Lesen der ersten Seiten wurde Claude Faffa klar, dass er es mit einem außergewöhnlichen Dokument zu tun hatte. Er war von der Strenge des Stils und der Aufrichtigkeit des Zeugnisses begeistert. Begeistert tippt Claude Faffa die Kriegstagebücher mit der Schreibmaschine ab
Au lendemain de la guerre 14-18, dominique Richert, un paysan de St-Lilrich (né en 1893) rédige ses mémoires de la guerre faite de 1914 à 1919 dans l’armée allemande, sur 9 simples cahiers « Le Calligraphe », raconter les privations ordinaires du soldat, les humiliations, la peur, l’angoisse…. et le dégoût que lui inspirent ces « Deckkepf » qui ont inventé cette boucherie immonde. Le récit est sans concession. Ne faisant omission d’aucune misère, Homme pacifique, Dominique Richert reste insensible au nationalisme exacerbé du  » Heldentum allemande ». Au grenier, des années durant, les cahiers de Dominique Richert dormiront au fond d’un tiroir, dans l’anonymat et la poussière. Dominique Richert avait désormais l’âme en paix . L’écriture lui avait permis d’exorciser les cauchemars qui le hantaient depuis son retour au pays. Par hasard, il aura suffit d’un rangement du grenier pour qu’Ulrich, le fils de Nickel découvre ce précieux trésor. Malheureusement un des cahiers avait été rongé par les souris. Mais en cette année 58, le père Richert accablé par le poids des ans , en rédigea cinq pages, Le vieux Dominique confia ses mémoires à un certain Claude Faffa, docteur en économie qui ne manqua jamais de lui rendre visite lorsqu’il était de passage à St Ulrich. Claude Faffa sensibible à l’humanisme de l’homme du terroir. Très vite à la lecture des premières pages, Claude Faffa comprit qu’il avait affaire à un document exceptionnel. Il est conquis par la rigueur du style, la sincérité du témoignage. Enthousiaste, Claude Faffa tape ces carnets de guerre à la machine

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Nach dem Ersten Weltkrieg schrieb Dominique Richert, ein Bauer aus St. Lilrich (geboren 1893), seine Erinnerungen an den Krieg, den er von 1914 bis 1919 in der deutschen Armee führte, in neun einfachen Heften « Le Calligraphe ». Er berichtete von den gewöhnlichen Entbehrungen des Soldaten, den Demütigungen, der Angst, der Beklemmung…. und dem Ekel, den er bei den « Deckkepf » empfand, die diese abscheuliche Schlächterei erfunden hatten. Die Erzählung ist kompromisslos. Dominique Richert, der kein Elend auslässt, ist ein friedliebender Mensch, der vom übersteigerten Nationalismus des « deutschen Heldentums » unberührt bleibt. Die Hefte von Dominique Richert lagen jahrelang anonym und verstaubt auf dem Dachboden in einer Schublade. Dominique Richert hatte nun seinen Seelenfrieden gefunden. Das Schreiben hatte es ihm ermöglicht, die Albträume, die ihn seit seiner Rückkehr in die Heimat verfolgten, auszutreiben. Durch Zufall entdeckte Nickels Sohn Ulrich beim Aufräumen des Dachbodens diesen wertvollen Schatz. Leider war eines der Hefte von Mäusen zerfressen worden. Der alte Dominique vertraute seine Memoiren einem gewissen Claude Faffa an, einem Doktor der Wirtschaftswissenschaften, der ihn immer besuchte, wenn er in St. Ulrich zu Besuch war. Claude Faffa war empfänglich für den Humanismus des Mannes aus der Region. Schon beim Lesen der ersten Seiten wurde Claude Faffa klar, dass er es mit einem außergewöhnlichen Dokument zu tun hatte. Er war von der Strenge des Stils und der Aufrichtigkeit des Zeugnisses begeistert. Begeistert tippt Claude Faffa die Kriegstagebücher mit der Schreibmaschine ab
Au lendemain de la guerre 14-18, dominique Richert, un paysan de St-Lilrich (né en 1893) rédige ses mémoires de la guerre faite de 1914 à 1919 dans l’armée allemande, sur 9 simples cahiers « Le Calligraphe », raconter les privations ordinaires du soldat, les humiliations, la peur, l’angoisse…. et le dégoût que lui inspirent ces « Deckkepf » qui ont inventé cette boucherie immonde. Le récit est sans concession. Ne faisant omission d’aucune misère, Homme pacifique, Dominique Richert reste insensible au nationalisme exacerbé du  » Heldentum allemande ». Au grenier, des années durant, les cahiers de Dominique Richert dormiront au fond d’un tiroir, dans l’anonymat et la poussière. Dominique Richert avait désormais l’âme en paix . L’écriture lui avait permis d’exorciser les cauchemars qui le hantaient depuis son retour au pays. Par hasard, il aura suffit d’un rangement du grenier pour qu’Ulrich, le fils de Nickel découvre ce précieux trésor. Malheureusement un des cahiers avait été rongé par les souris. Mais en cette année 58, le père Richert accablé par le poids des ans , en rédigea cinq pages, Le vieux Dominique confia ses mémoires à un certain Claude Faffa, docteur en économie qui ne manqua jamais de lui rendre visite lorsqu’il était de passage à St Ulrich. Claude Faffa sensibible à l’humanisme de l’homme du terroir. Très vite à la lecture des premières pages, Claude Faffa comprit qu’il avait affaire à un document exceptionnel. Il est conquis par la rigueur du style, la sincérité du témoignage. Enthousiaste, Claude Faffa tape ces carnets de guerre à la machine

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