Képi Blanc 2 – Général Richert
LE GENERAL RICHERT la vie du créateur du Képi blanc de la Légion Étrangère
Créateur du légendaire du képi blanc de la Légion étrangère le général Richert était un cousin de Dominique Richert.
Xavier Augustin RICHERT. Le Général Légionnaire baroudeur bien connu a vu le jour le 29.O8.l879. Cet homme a laissé son empreinte tant dans son village natal qu’à l’armée. A la Légion étrangère et à la diplomatie de l’entre deux guerres.
Il a fréquenté l’école communale de Saint-Ulrich. Puis celle de Strueth, où ses parents se sont établis après la mort du grande père paternel.
En ce temps là, toutes les familles, autant que certains habitants portaient des sobriquets, qui leur avaient été attribués à l’occasion d’un événement, remontant parfois dans la nuit des temps et dont personne, même les anciens ne pouvaient expliquer la provenance.
Xavier Richert, le père du futur Général était connu sous le sobriquet « Dr Glàserväri ». La majorité des habitants du village avaient en fait oublié qu’il s’agissait d’un Richert. On a appelé le futur Général, qui continuait la lignée « S’Glàseväris Auguste ».
Tout jeune Auguste se distinguait déjà comme meneur de la bande de ses camarades. Lorsque l’on jouait au jeu du Gendarme et des voleurs, il prenait le rôle , soit du commandant de Gendarmerie ou du chef des voleurs. Dans les deux cas c’était toujours sa bande qui gagnait. Si le jeu portait sur la guerre, il était le Général vainqueur. S’il s’agissait de religion, il représentait, pour le moins l’évêque, qui venait visiter ses ouailles.
A 12 ans, en l’absence de son instituteur, il a pris les rennes de l’école, faisant la classe à la place de l’enseignant défaillant, pendant quelques temps.
A 14 ans, ses parents l’ont envoyé au collège des Bénédictins à Delle, dans le but de lui faire acquérir la connaissance de la langue française et préparer ses études classiques.
Sa mère nourrissait le secrêt espoir de le destiner à la prêtrise. Son père souhaitait le voir devenir un homme d’affaires internationales. Le jeune Richert ne rèvait que plaies et bosses. Il souhaitait réaliser une carrière plus dévorante.
Dans sa prime enfance il avait été marqué par la mort, à l’âge de 2l ans, de Jean-Baptiste Kayser, qui s’était engagé dans la Légion Etrangère. Il s’agissait du frère ainé de mon grande père maternel, qui est mort au champ d’honneur lors d’un engagement contre les révoltés du Tonkin.
Arbre généalogique Dominique est bien de la même famille.